A 18h40, les lumières de Bercy s’éteignent, dans un noir total, sans rien d’autre qu’un compte a rebours, les 15000 personnes présentes explosent le sonomètre. C’est fou ce qu’éteindre les lumières d’une salle peut provoquer comme réaction. Après le concours des meneurs et le concours à trois points, les 10 joueurs de chaque sélection
- Knicks City Dancers
- Photo : Lionel Préau
s’élevèrent derrière chaque panneau. Comme l’année derrière c’est un peu long mais l’effet est imparable. « Ca fait rainri » et le public adore ! Un peu plus tard, autre registre mais l’effet est le même. L’arrivée des pompoms des Knicks sur le parquet de Bercy. Ouch...
Le match des étoiles peut commencer. Il démarre sur des très bonnes bases. Mam Diarra postérise la sélection américaine, Yohann Sangaré s’est mis en mode Quai 54, ça démarre haut et fort. Le match est digne d’un All Star.
- Guy Dupuy
- Photo : Lionel Préau
Jean Luc Monschau montre qu’il veut gagner à tout prix. Il aligne sur une période le quatuor Fellah-Bokolo-Pellin-Sangaré. Bonjour la défense !
5 hommes se présentent sur le parquet, le meilleur d’entre eux, Guy Dupuy, récoltera comme chaque année son lot d’applaudissements. Mais l’instabilité et surtout le génie de Kadour Ziani a manqué cette année.
Dans le 3e quart temps, la sélection étrangère prend le dessus et ne lâchera plus le match. Il offre même une fin de match clairement magnifique. Alley oop, dunks, Bercy sourit, Bercy remercie, le basket français conclut l’année par une nouvelle réussite. Il ne faut pas se le cacher, merci Nike.
A l’année prochaine !